Alors que janvier arrivait, j’ai entendu que la plupart des résolutions du Nouvel An étaient abandonnés le 19 janvier. J’ai une longueur d’avance sur le jeu car c’est le milieu du mois et je suis en train de décider maintenant de ce qui est important pour moi et ce que je veux accomplir cette année. Mes résolutions ainsi que mes objectifs n’ont pas été pris le jour du Nouvel An depuis longtemps. Ils commencent et s’étirent tout au long de l’année et se retrouvent souvent sur la liste des choses à faire pour l’année suivante.
Je suis fan de Marie Forleo et Mel Robbins. J’ai regardé la «Décennie en revue» de Marie et j’en conviens qu’il est important de laisser tomber les choses qui ne nous servent pas ou plus. Il n’y a pas si longtemps que cela, je vivais et je me concentrais principalement sur le passé ou l’avenir. Lorsque je parle de mon passé, je le revis. Maintenant, je préfère de loin vivre dans le présent. Il y a un dicton français que j’aime: «Avec des si, on mettrait Paris en bouteille» Elle a deux significations, la première :«avec les spéculations, tout est possible», la seconde, qui est celle que j’ai toujours pensé en grandissant: «les spéculations sans fondations restent vaines ou impossibles».
En faisant le bilan de ma dernière décennie et en prenant des notes mentales, il me semblait que ma page de réalisations était assez anémique. Mais j’ai appris à m’empêcher de penser aux «si», me comparer aux autres ne m’aide pas à devenir une meilleure personne, cela me fait seulement douter de moi et me prive du temps précieux. Au lieu de suivre l’ancien chemin, j’ai choisi de réorienter mes pensées vers la croissance et les améliorations que j’ai accompli pour moi-même. L’une des choses qui ont amélioré ma vie est l’objectif que j’avais choisi l’année dernière, il était de me faire remarquer, quand je me jugeais et/ou quand je jugeais les autres. Cela s’est avéré être un bon exercice car j’ai fini par me sentir plus légère d’esprit, plus tolérante et bienveillante envers moi-même autant qu’envers les autres. Je choisis mes mots avec soin lorsque je me parle ou pense à moi-même, c’est devenu beaucoup plus facile de voir ce que je perçois comme mes fautes ou mes défauts comme des choses que je peux facilement changer ou améliorer. L’eau glissant sur les plumes d’un canard est une image mentale que j’utilisais souvent, cette image m’a permis de secouer toutes les pensées ou réactions négatives qui venaient de moi ou d’autres personnes qui pouvaient conduire à la colère ou m’affaiblir mentalement. Nous réagissons souvent de manière excessive ou voyons trop loin quand les autres nous répondent d’une manière différente ou inattendue. Nous ne pouvons pas changer la façon dont ils verbalisent les choses ou comment ils font les choses, mais nous pouvons choisir comment nous y réagissons face à la situation, tout dépend de la façon dont nous les percevons. Il y a une grande liberté à gagner en laissant aller les choses, il est plus facile d’être gentil que d’avoir raison.

J’ai rejoint le programme gratuit «Meilleure décennie» de Mel Robbins pour m’aider à me concentrer et à réaliser certains de mes rêves et objectifs. Je veux accomplir ce que j’ai choisi de faire pour cette année. Il y a une science pour faire avancer les choses. Notre cerveau a besoin de plans spécifiques. Nous perdons souvent courage et nous abandonnons parce que nous nous sentons dépassés par l’ampleur de ce qu’il faudra faire pour accomplir nos tâches ou nos résolutions. Notre cerveau ne sait pas par où commencer à moins que nous ayons des détails spécifiques et que nous commencions petit à petit. Comme l’enseigne Mel Robbins, «les rêves se construisent avec une brique à la fois, une étape à la fois. Les petites choses s’accumulent. Des progrès constants et modestes créeront l’élan idéal pour vous aider à obtenir vos objectifs ou vos résolutions.»
J’ai hâte de créer des étapes intéressantes et simples qui pourront être facilement accomplies.
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